J’en mourais d’envie mais je n’osais pas. Et puis l’année dernière cet homme dans le métro qui m’observe… il est mince, élégant, il a un beau visage avenant, doit avoir à peine la quarantaine… il
me plait bien, va-t-il oser m’aborder… Il me regarde encore et cette fois je ne crains plus de soutenir son regard. Alors il se décide et se rapproche de moi.
- Bonjour!
- Bonjour…
- Avez-vous un peu de temps?
- Oui…
- Nous pourrions descendre à la prochaine station et marcher pour faire connaissance…
Les gens autour de nous n’écoutent pas notre conversation… Et quand bien même, mon incognito dans cette grande ville me rassure…
- Oui…
- Vous en avez vraiment envie n’est-ce pas?
Ce n’est pas à la promenade qu’il fait allusion Je redresse la tête, le fixe et cligne mes deux yeux…
Dehors, il fait un temps magnifique. Nous marchons un moment sur le Champs de Mars sans prononcer un mot. Et puis, il se décide:
- Je connais pas très loin un petit hôtel…
Son propos m’excite et en même temps me chagrine… Maintenant que j’ai accepté d’être sa femme, maintenant que j’ai succombé à ses avances me dis-je encore, j’aimerai qu’il me courtise un peu…
Il a aussitôt deviné mes pensées.
- Rassure-toi ma chérie, tu me plais beaucoup tu sais, dès que je t’ai « vue » monter dans la rame, j’ai éprouvé une grande attirance… Pardonne moi de te bousculer mais avec l’envie que
j’ai de toi, une après midi entière d’amour ne sera pas de trop tu sais!
-, C’est la première fois…
- Mais c’est merveilleux! Tu vois, je sais que tu ne me mens pas, et c’était même ce à quoi je songeais, ce jeune garçon me disais-je a des airs de vierge, tu me rends fou de désir et surtout ne
t’inquiète pas, je vais te faire l’amour comme à une jeune fille…
Le concierge nous a tendu une clé sans même nous regarder. Nous avons croisé deux homosexuels qui sortaient de leur chambre au moment où nous entrions dans la notre. Celui qui avait eu le rôle
passif, m’a adressé de la main un signe de connivence. Bien évidemment, il savait que mon compagnon allait m’enculer, et le sien d’ailleurs a regardé le mien avec envie… Tout cela m’excite
terriblement, je suis dans ce petit hôtel tranquille, à l’abri des regards indiscrets et je vais me faire baiser par un bel homme à qui je plais… La porte à peine refermée, il me prend dans ses
bras et m’embrasse passionnément. Sa langue fouille ma bouche, je m’abandonne et frémis de la tête jusqu’aux pieds. Il me déshabille avec tendresse, me suce la pointe des seins… oh que c’est bon,
je suis femme jusqu’au bout des ongles...
Puis soudain, il se dévêt promptement. Nous sommes nus. Il a un beau corps lisse, bronzé, et musclé sans excès. Son gland décalott2 est superbe. Large et rond, il est harmonieusement assorti à son
long sexe épais qui bande à l’extrême. Il m’entraîne sur le lit où il me fait mettre à quatre pattes avant de s’agenouiller derrière moi. Sa bouche se place sur mon intimité que tour à tour, il
bouffe voracement et lèche à petit coups de langue. Oh mais que c’est bon! Il me suce la chatte! Ma petite chatte qui est déjà la sienne… comme une gonzesse, oui comme une gonzesse… oh comme je
suis heureuse,, je n’avais encore jamais autant vibré d’envie… oh mon chéri, je veux ta queue, ta queue toute entière, baise moi, baise moi toute… son gland brûlant se pose sur ma pastille, il me
prend par la taille et pousse lentement sa bite en avant par petits à coups délicats. Oh mon dieu, ça y est, dans deux minutes elle sera toute dans mon cul, je serai une enculée… oh mon amour comme
c’est bon. Mon intimité est naturellement de plus en plus humide. Mais tu mouille salope, c’est vrai que tu es une vrai gonzesse… Il sens que je m’ouvre. Il reprend ma taille et donne un vif coup
de reins. Mon sphincter capitule. Je pousse un petit cri quand il me pénètre profondément.
- Ton premier cri de femme mon amour, te voilà dépucelée, maintenant tu ne pourras plus t’en passer et tu pousseras bien d’autres cris, des cris d’extase et de bonheur, tu seras satisfaite, comblée
et chaque fois tu penseras à moi qui t’a révélé ta vraie nature…
Son énorme queue raide et dure me pistonne le fion sans cesse, je sens chacun de ses va et vient, je me fais merveilleusement baiser…
Je m’appelle Sonia. J’ai suivi un traitement hormonal. Mes seins ont poussé, ma taille s’est affinée, mes hanches se sont épanouies. J’ai fait deux petites chirurgies d’appoint et maintenant je
suis une belle brune pimpante aux jolies formes pleines.
Oreste Anlaire - le 31/01/2010 à 14h44
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- Bonjour!
- Bonjour…
- Avez-vous un peu de temps?
- Oui…
- Nous pourrions descendre à la prochaine station et marcher pour faire connaissance…
Les gens autour de nous n’écoutent pas notre conversation… Et quand bien même, mon incognito dans cette grande ville me rassure…
- Oui…
- Vous en avez vraiment envie n’est-ce pas?
Ce n’est pas à la promenade qu’il fait allusion Je redresse la tête, le fixe et cligne mes deux yeux…
Dehors, il fait un temps magnifique. Nous marchons un moment sur le Champs de Mars sans prononcer un mot. Et puis, il se décide:
- Je connais pas très loin un petit hôtel…
Son propos m’excite et en même temps me chagrine… Maintenant que j’ai accepté d’être sa femme, maintenant que j’ai succombé à ses avances me dis-je encore, j’aimerai qu’il me courtise un peu…
Il a aussitôt deviné mes pensées.
- Rassure-toi ma chérie, tu me plais beaucoup tu sais, dès que je t’ai « vue » monter dans la rame, j’ai éprouvé une grande attirance… Pardonne moi de te bousculer mais avec l’envie que j’ai de toi, une après midi entière d’amour ne sera pas de trop tu sais!
-, C’est la première fois…
- Mais c’est merveilleux! Tu vois, je sais que tu ne me mens pas, et c’était même ce à quoi je songeais, ce jeune garçon me disais-je a des airs de vierge, tu me rends fou de désir et surtout ne t’inquiète pas, je vais te faire l’amour comme à une jeune fille…
Le concierge nous a tendu une clé sans même nous regarder. Nous avons croisé deux homosexuels qui sortaient de leur chambre au moment où nous entrions dans la notre. Celui qui avait eu le rôle passif, m’a adressé de la main un signe de connivence. Bien évidemment, il savait que mon compagnon allait m’enculer, et le sien d’ailleurs a regardé le mien avec envie… Tout cela m’excite terriblement, je suis dans ce petit hôtel tranquille, à l’abri des regards indiscrets et je vais me faire baiser par un bel homme à qui je plais… La porte à peine refermée, il me prend dans ses bras et m’embrasse passionnément. Sa langue fouille ma bouche, je m’abandonne et frémis de la tête jusqu’aux pieds. Il me déshabille avec tendresse, me suce la pointe des seins… oh que c’est bon, je suis femme jusqu’au bout des ongles...
Puis soudain, il se dévêt promptement. Nous sommes nus. Il a un beau corps lisse, bronzé, et musclé sans excès. Son gland décalott2 est superbe. Large et rond, il est harmonieusement assorti à son long sexe épais qui bande à l’extrême. Il m’entraîne sur le lit où il me fait mettre à quatre pattes avant de s’agenouiller derrière moi. Sa bouche se place sur mon intimité que tour à tour, il bouffe voracement et lèche à petit coups de langue. Oh mais que c’est bon! Il me suce la chatte! Ma petite chatte qui est déjà la sienne… comme une gonzesse, oui comme une gonzesse… oh comme je suis heureuse,, je n’avais encore jamais autant vibré d’envie… oh mon chéri, je veux ta queue, ta queue toute entière, baise moi, baise moi toute… son gland brûlant se pose sur ma pastille, il me prend par la taille et pousse lentement sa bite en avant par petits à coups délicats. Oh mon dieu, ça y est, dans deux minutes elle sera toute dans mon cul, je serai une enculée… oh mon amour comme c’est bon. Mon intimité est naturellement de plus en plus humide. Mais tu mouille salope, c’est vrai que tu es une vrai gonzesse… Il sens que je m’ouvre. Il reprend ma taille et donne un vif coup de reins. Mon sphincter capitule. Je pousse un petit cri quand il me pénètre profondément.
- Ton premier cri de femme mon amour, te voilà dépucelée, maintenant tu ne pourras plus t’en passer et tu pousseras bien d’autres cris, des cris d’extase et de bonheur, tu seras satisfaite, comblée et chaque fois tu penseras à moi qui t’a révélé ta vraie nature…
Son énorme queue raide et dure me pistonne le fion sans cesse, je sens chacun de ses va et vient, je me fais merveilleusement baiser…
Je m’appelle Sonia. J’ai suivi un traitement hormonal. Mes seins ont poussé, ma taille s’est affinée, mes hanches se sont épanouies. J’ai fait deux petites chirurgies d’appoint et maintenant je suis une belle brune pimpante aux jolies formes pleines.