Récits gays
Cette histoire c’est passée alors que je venais de fêter mes 18 ans quelques jours plus tôt. Cette année là, le lycée organisait un voyage linguistique en Allemagne, pour les quelques germanistes du bahut. On ne peut pas dire que j’étais très enthousiaste, j’étais vraiment très nul en Allemand et pour tout dire l’outre Rhin ne me faisait pas rêver plus que ça !!
La seule chose qui pouvait me motiver était la légende qui prétendait que l’Allemagne était une réserve de bogosses bien battis et bien chauds.....
Depuis plusieurs mois, nous entretenions des correspondances avec les familles qui allaient nous accueillir là bas et nous nous organisions pour le grand départ. Tous se passait à peu près bien, les Allemands avaient l’air sympa, assez ouvert et en prime ils avaient une maison énorme. Du coup, comme ils pouvaient accueillir deux élèves, on m’avait attribué un binôme : Jérôme, un mec du genre intello, pas très bavard et pas très fun. J’en aurais bien pris un autre plus mignon, mais je n’avais pas le choix et au moins il parlait allemand ! Bref, je m’étais fais une raison, j’étais prêt pour deux semaines d’ennuis à la mode germanique....... Mais deux jours avant le départ, pendant le week-end, ma prof principale appelle chez moi, pour me prévenir que Jérôme était tombé malade et qu’il ne pourrait pas partir avec nous. A la place, c’était un certain Gaultier qui allait m’accompagner, un mec d’un autre groupe d’Allemand du même âge. Et voilà ! J’allais me retrouver dans un autre pays, dans une famille inconnue ne parlant pas ma langue, avec en prime un lycéen que je ne connais même pas !
Je me rendais donc, en traînant des pieds, jusqu’au car le lundi matin (à 6h) en ne sachant toujours pas qui allait être mon binôme. J’espérais un beau petit minet efféminé, mais à la place, on me présenta une caillera en jogging, le crâne rasée avec un casquette tout juste posée sur la tête. Sans même me dire bonjour, il monta dans le car, en me marchant presque sur les pieds et me balança entre les dents “tafiole” au passage. J’allais donc passer deux semaines avec un homophobe de première ! Inutile de préciser que j’ai soigneusement évité de me mettre à côté de lui pendant le long trajet jusqu’à Berlin. Heureusement, j’avais prévu mon Ipod et deux ou trois magazines pour la route. De toute manière, après quelques kilomètres, je m’appliquais à terminer ma nuit.
Une fois arrivé à Berlin, nous fûmes accueillis par la famille d’accueil et rapidement emmené dans leur grand pavillon de banlieue chique. Comme prévu, la maison était immense et super design. Mais à notre grande surprise, au moment de nous montrer où nous allions dormir, on ne nous ouvrit qu’une seule porte donnant sur une grande chambre avec deux lits côte à côte. Moi qui pensais pouvoir me branler tranquille le matin, c’était pas gagner ! Après avoir posé nos affaires dans la chambre, la famille nous proposa de passer à table puisqu’il était déjà tard. Nous mangeâmes rapidement, en tentant de faire connaissance dans un allemand exécrable. Une heure à peine après, on allait se coucher.
Même s’il jouait les gros durs, Gaultier était complètement crevé et avait besoin de dormir. Du coup il se déshabilla rapidement et ne garda que son caleçon pour se
coucher. Moi qui le trouvait ridicule avec ses fringues, torse nu, il était divin ! Il avait une superbe peau de métisse maghrébin dorée et une superbe musculature du dos et des abdos. En plus,
il avait de belles fesses bien rondes et son boxer semblait plutôt bien rempli devant.... Sans m’en rendre compte, alors que j’étais aussi en train de me déshabiller, je dû scotcher un moment sur
lui et il me lança violemment : “ eh ! tu regardes quoi tafiole ? baisse ton regard ! ” Je m’apprêtais à lui répondre un truc du genre “ rien du tout ! arrête de rêver ! ” Mais mon corps parla le
premier et je sentis en quelques secondes mon sexe gonfler et devenir raide comme jamais ! Je ne pouvais plus rien dire, j’étais tout rouge, complètement pétrifié et je sentais mon coeur qui
battais à toute vitesse. Soudain Gaultier s’approcha de moi et me poussa par terre. “putain, mais c’est quoi ça ? Tu bandes ? tu crois que je vais te sucer ou quoi ?” Je ne savais plus quoi dire
et je n’en finissais pas de bander. Il faut dire que je ne m’étais pas branlé de la journée, alors qu’habituellement je me faisais plaisir au moins deux à trois fois par jour ! Je crois même que
l’agressivité de Gaultier m’excitait en fait. D’ailleurs, me voir autant excité le mettait encore plus en rogne : “putain, mais t’es qu’une petite salope de pédale !” Il me tira alors vers lui
par le T-shirt que je n’avais pas eu le temps de retirer. “ vas y ! met toi à genou” il me prit brutalement la tête et me colla le visage sur son boxer. “tu veux bouffer de la bite pédé? alors
suce ma teub !!”
J’avais le nez collé sur son caleçon et je sentais une bonne odeur de bite traverser le tissu. Mon coeur battait comme un fou et je sentais des afflux de sang gonfler ma queue à fond. D’un côté, je me disais qu’il était en train d’abuser de moi, mais de l’autre ça m’excitait au plus au point ! “Vas y ! Fais gonfler ma teub ! ” tout en disant ça, il se frotta sur mon visage et je sentais son sexe durcir un peu plus à chaque mouvement.
Au bout de quelques secondes, il sortit sa grosse queue de 18 ans bien raide de son boxer et se mit à me donner des coups sur les joues. J’adorais ça ! Son sexe sentait fort, il était gros et me semblait immense sous ce point de vu. Avec bonheur, je commençais à le lécher doucement de bas en haut en sentant chaque veine se gonfler sur mon passage. Très vite, il me pris par les cheveux et me força à le sucer. “ suce salope ! suce ! ” Je le sentais jusqu’au fond de ma gorge. Il faisait de rapides et violents allés et retours, comme s’il me pénétrait littéralement la bouche ! J’étais complètement soumis à son plaisir.... Il arrêta de bouger son bassin et m’obligea à accélérer le mouvement en me tenant l’arrière du crâne dans ses mains. J’avalais toute sa tige jusqu’à en avoir des hauts le coeurs parfois. Sa bite était toute luisante, il mouillait littéralement et j’avalais sans rien dire tout le liquide séminal qui pouvait couler de son membre. D’ailleurs, sans même me toucher, je pouvais également sentir que mon sexe était lui aussi tout humide et qu’il tâchait de plus en plus mon caleçon. Gaultier se déchaînait et poussait de petits cris, accompagnés de soupirs de plaisirs. Pour un hétéro, il semblait bien apprécier qu’un mec s’occupe de lui. “tu kiff pédé ! elle te plaît ma grosse teub !” tout en disant cela il faisait claquer sa queue sur ma langue que je lui offrait. “Ouais, tu kiff grave ! tu vas continuer à kiffer alors......”
Il me releva alors, en tirant à nouveau sur mon T-shirt qu’il déchira au passage et me jeta à plat ventre sur mon lit. La tête plaquée sur la couette, avec tout son poids sur mon dos, il me murmura à l’oreille : “Je vais te défoncer le cul ! ça va te calmer !”
Très vite, il baissa mon caleçon, présenta sa belle queue à l’entrée de mon petit trou et força le passage pour faire entrer son gros gland circoncis. J’étais très
excité, mais sans lubrifiant ni capote, je ressenti une énorme douleur et Gaultier dû étouffer mon cris en mettant sa main sur ma bouche pour que les allemands ne nous entendent pas. De toute
façon, mes protestations ne calmaient en rien ses ardeurs et il continuait à me pénétrer centimètres par centimètres. Je sentais mon anus se dilater petit à petit et la peau de son membre frotter
mes entrailles. Au bout de quelques vas et viens, la douleur commençait à céder la place à des sensations beaucoup plus agréables.....
Je n’avais que 18 ans et ne m’étais pas souvent fait prendre avant, surtout par un aussi gros calibre. Du coup je découvrais à chaque assaut de Gaultier de nouvelles sensations. “putain, t’as un trou bien serré ! ça me fais monter le jus !” Sa queue était bien lubrifiée de désir et mon cul se dilatait de plus en plus. Gaultier en profitait pour s’enfoncer un peu plus profond ! Décidément, j’adorais avoir sa bite en moi et je sentais monter progressivement l’orgasme. Mon sexe bavait de plus en plus et laissait des filets de liquide transparent tomber sur le lit. “je vais te remplir le fion pédé ! je vais cracher !”
Après ces paroles, il accéléra et se mit à me labourer le cul comme jamais en m’agrippant les hanches et en donnant de grands coups de bassins. “ça viens ! ça viens” Je sentis alors sa queue se contracter et une chaleurs m’envahir les entrailles. Au même moment et sans même me toucher, un long jet de sperme allait s’écraser sur la couette blanche.
Très vite, Gaultier retira son sexe encore gonflé et contempla sa semence sortir de mon antre et s’étaler sur mes fesses. Je ne bougeais plus et continuais à profiter encore quelques instants de ce moment d’extase sauvage.....
“Si t’en parle à quelqu’un, t’es mort ! C’est clair ?” Je ne répondis rien à ça et Gaultier me laissa en plan, le cul plein de son sperme et partit se coucher sans se retourner vers moi.
Tout à coup, ce voyage en Allemagne me paraissait beaucoup plus intéressant..... Surtout que Gaultier avait bien pris son pied et que sa copine était restée en France. Je passai mes deux semaines à répondre à ses désirs virils de jeunes adultes. Entre les branlettes, les fellations et la sodomies, je revins de l’outre Rhin avec une image beaucoup plus positive qu’en m’y rendant.......
Et c'est pas obligé qu'il se laisse violer pour que ton histoire semble réaliste.
J'aurais eu mon pied si, disons, le lendemain du premier soir, ce Gaultier avait dit "Tu m'obéis, je veux te sucer!". C'aurait été un beau retournement...
Bravo encore, à bientôt.